Fouine

https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000006838300&cidTexte=LEGITEXT000006074220&dateTexte=20090612

Amicalement, JP2.

bof a écrit:

Gaby53 a écrit:

JP2 a écrit:Même si n'importe quel quidam est autorisé à piéger Rat Musqué et Ragondin, le minimum est quand même de s'informer sur les animaux piégeables, non ?

Que doit faire un "piégeur", non agréé, s'il capture un nuisible dont il ne connaît pas le statut, sachant qu'on ne doit pas relâcher un nuisible ?

N'étant pas piégeur, il ne peut que le relâcher.
Je n'ai jamais entendu que l'on ne pouvait pas relâcher un animal, nuisible ou pas.
Ce n'est pas comme pour la pêche ou il est interdit de relâcher, par exemple, un brochet ou autre sandre de 2° catégorie en 1° catégorie.

Salut,
bien sur que c'est interdit de relâcher un nuisible, c'est aussi pour cela que les agréments deviennent obligatoire pour pieger!
sinon si tu es pris à relâcher un nuisible tu peux être verbalisé....
et le fait que l'on en ai jamais entendu parler n'en fait pas une certitude!
et un piégeur qui ne connait pas le statut de l'animal qu'il a pris est lui même un blaireau!
que croyez vous que soit un piégeur....

Bonjour,

désolé mais un non piégeur n'a pas le droit de réguler autre chose que les rats avec des boîtes tombantes.
Je serai curieux de connaitre la position d'un garde qui voit un non piégeur mettre à mort un nuisible pris dans sa boite.

Pour compléter, une petite histoire :
Un jour d'ouverture de la truite (en 1°+ catégorie), un quidam (votre serviteur) qui s'ennuyait un poil avec les truites de bassine eût la "bonne" idée de pêcher au leurre.
Un leurre un peu "gros" pour des truites. (c'était volontaire).
L'individu, qui décidément ne peut rien faire comme les autres, attrape un brochet, le place dans une bourriche, et, bien sûr, le garde passe et demande ce qu'il y a dedans.
(il y a toujours un garde qui se balade le jour de l'ouverture, après .... )
J'explique que j'ai pris un brochet.
(Le garde) - Monsieur, vous savez qu'il est interdit de le remettre à l'eau vivant. (important le "vivant")
(ma pomme) - Oui Monsieur le garde. (mieux vaut rester poli dans ces moments là)
(Le garde) - Et, qu'allez vous en faire ?
(ma pomme) - Ben, je vais aller chercher une bassine, le mettre dedans et le rejeter en 2° catégorie.
Je me refuse à tuer un poisson pour le plaisir, sous prétexte qu'il est classé indésirable dans une rivière qui n'a de 1° catégorie que le nom.
(Le garde) - C'est vrai, c'est une solution. (lui non plus n'aimait pas le principe)

Et, c'est ce que j'ai fait.
J'ai juste demandé au garde ce qui pouvait arriver si j'étais contrôlé à transporter un brochet vivant, en période de fermeture des carnassiers ? (je savais bien que c'était interdit)
Réponse - Hum! en principe c'est interdit mais ... bon ...

Et je l'ai fait quand même.

pour info : la rivière en question passe à 100m derrière la gendarmerie du village et il n'y a qu'un seul accès; devinez ou il passe ?

APrès avoir u peu fouillé sur le net, j'ai trouvé ceci : (qui me semble logique)

chasseur33.com a écrit:Si vous n'êtes pas piégeur agréé vous devez :

faire une déclaration de piégeage (voir : modèle de déclaration de piégeage) à la mairie du lieu de votre activité (valable jusqu'au 30 juin).
utiliser des « pièges cages » (pièges de catégorie 1) munis du « trou à vison » ouvert toute l'année. Ce dispositif permet aux femelles de vison d'Europe (espèce protégée) de s'échapper dès leur capture accidentelle (trou de 5 x 5 cm positionné sur une des parois latérales à 3 cm du plancher ou dans l'angle du plafond de la cage).
relever les pièges tous les jours avant midi, mettre à mort immédiatement et sans souffrance les ragondins et les rats musqués ou relâcher toutes les autres espèces animales capturées accidentellement.

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